René Gori : Ce
soir, dans le tremblement des chandelles, la silhouette des gens dans le noir.
Imagine, des amis venus pour une soirée dans une maison… Ma maison. Une veillée.
Feu de cheminée… Clapotis du canal, la fenêtre
reste ouverte sur le monde.
Le
samovar : Ils
y croiront ?
René Gori
: Ben…
Le
samovar : Je
veux dire, ils écouteront jusqu’à la fin ?
René Gori
: Imagine.
Les bougies, une odeur de thé au jasmin.